En ce onzième jour du Haru basho, Matsutani, classé E-Ms1, autrement dit en tête de la division makushita, a obtenu le kachikoshi. Et la certitude d'une promotion en jûryô pour le Natsu basho.
En rejoignant les vestiaires, dans l'"allée des fleurs" (hanamichi), il était en larmes : "Depuis que je suis devenu professionnel, j'ai versé beaucoup de larmes d'amertume. Des larmes de joie, c'est la première fois.".
Matsutani (26 ans, Matsuganebeya) a fait ses débuts il y a quatre ans, au Haru basho 2006. Originaire de Chikujô (préfecture de Fukuoka), il est issu de l'université Komazawa de Tôkyô. Depuis l'Aki basho 1977, il y a presque 33 ans, et la promotion d'Ôgata (futur Amanoyama de la Tokitsukaze), aucun ancien de cette université n'était devenu sekitori : "Ce genre d'occasions ne se présente pas souvent. Je voulais gagner à tout prix aujourd'hui.".
En rejoignant les vestiaires, dans l'"allée des fleurs" (hanamichi), il était en larmes : "Depuis que je suis devenu professionnel, j'ai versé beaucoup de larmes d'amertume. Des larmes de joie, c'est la première fois.".
Matsutani (26 ans, Matsuganebeya) a fait ses débuts il y a quatre ans, au Haru basho 2006. Originaire de Chikujô (préfecture de Fukuoka), il est issu de l'université Komazawa de Tôkyô. Depuis l'Aki basho 1977, il y a presque 33 ans, et la promotion d'Ôgata (futur Amanoyama de la Tokitsukaze), aucun ancien de cette université n'était devenu sekitori : "Ce genre d'occasions ne se présente pas souvent. Je voulais gagner à tout prix aujourd'hui.".