Le terme setsubun désigne la veille du passage d'une saison à une autre, selon le calendrier lunaire d'origine chinoise. A l'origine, le passage entre chaque saison était fêté. De nos jours, seule la célébration du passage au printemps, le 3 février, considéré aussi comme le passage à la nouvelle année selon le calendrier lunaire, subsiste encore. A cette occasion, afin de se préparer une bonne année et de chasser les démons, on se livre à diverses coutumes, la principale étant le mamemaki, littéralement lancer de fèves.
Chaque année, des rikishi se prêtent à la tradition. Asashôryû y a renoncé cette année pour les raisons que l'on sait, mais Baruto (au premier plan sur la photo), entre autres, a participé au mamemaki du temple Shinsho de Narita. Du haut d'une estrade installée pour l'évènement, revêtu du kamishimo (vêtement cérémonial traditionnel des samouraï qui se porte sur le kimono), il a lancé des fèves de soja au nombreux public. Il n'a pas oublié de prononcer la phrase rituelle : "Oni wa soto, fuku wa uchi" (dehors les démons, dedans le bonheur).
Cette année, 40.000 personnes ont fait le déplacement au Shinshoji et 860 kg de fèves de soja et 400 kg de cacahouètes ont été utilisés.
Chaque année, des rikishi se prêtent à la tradition. Asashôryû y a renoncé cette année pour les raisons que l'on sait, mais Baruto (au premier plan sur la photo), entre autres, a participé au mamemaki du temple Shinsho de Narita. Du haut d'une estrade installée pour l'évènement, revêtu du kamishimo (vêtement cérémonial traditionnel des samouraï qui se porte sur le kimono), il a lancé des fèves de soja au nombreux public. Il n'a pas oublié de prononcer la phrase rituelle : "Oni wa soto, fuku wa uchi" (dehors les démons, dedans le bonheur).
Cette année, 40.000 personnes ont fait le déplacement au Shinshoji et 860 kg de fèves de soja et 400 kg de cacahouètes ont été utilisés.