Le comité d'organisation du banzuke s'est réuni aujourd'hui et a publié la liste des six promus en division jûryô. Quatre y font leur entrée et deux leur retour, les bannis Daidô et Chiyohakuhô. Parmi les nouveaux, les deux premiers sekitori de l'ère Heisei, Takayasu et Masunoyama, ainsi que Fukao, qui change pour l'occasion de shikona et devient Akiseyama/明瀬山.
Il faut donc six places libres en jûryô. L'une d'elles est définitivement libérée par l'intai d'Iwakiyama. Pour les cinq autres, il s'agit de rétrogradations : Ryûhô (E-J14/7-8), Yamamotoyama (O-J13/0-1-14, kyûjô), Nakanokuni (E-J12/3-12), Matsutani (E-J11/0-0-15, kinshin), le cinquième pourrait être Tokushinhô (E-J9/4-11) ou Sagatsukasa (O-J10/5-10). (Pronostic donné sans garantie.)
Bien qu'il ait pu espérer un temps une rétrogradation supplémentaire, Kiyoseumi devra prolonger son séjour en division makushita. Il a obtenu son kachikoshi après six combats et aurait dû être plus actif dès le départ. On n'est jamais à l'abri d'un Takayasu a priori classé un peu bas pour être promu...
Daidô, pas exactement flamboyant non plus mais très bien classé, et Chiyohakuhô ont eux fait en sorte de ne pas faire peser plus que nécessaire sur leur carrière l'affaire des paris illégaux. et sont les deux revenants de cette promotion. Par contre, Kasuganishiki, qui était le plus bas classé des anciens bannis et avait besoin de plus qu'un kachikoshi, s'est écroulé à 1-6. Il va descendre davantage dans la division makushita et ne pourra même pas remonter en jûryô après le Kyûshû basho.
Il faut donc six places libres en jûryô. L'une d'elles est définitivement libérée par l'intai d'Iwakiyama. Pour les cinq autres, il s'agit de rétrogradations : Ryûhô (E-J14/7-8), Yamamotoyama (O-J13/0-1-14, kyûjô), Nakanokuni (E-J12/3-12), Matsutani (E-J11/0-0-15, kinshin), le cinquième pourrait être Tokushinhô (E-J9/4-11) ou Sagatsukasa (O-J10/5-10). (Pronostic donné sans garantie.)
Bien qu'il ait pu espérer un temps une rétrogradation supplémentaire, Kiyoseumi devra prolonger son séjour en division makushita. Il a obtenu son kachikoshi après six combats et aurait dû être plus actif dès le départ. On n'est jamais à l'abri d'un Takayasu a priori classé un peu bas pour être promu...
Daidô, pas exactement flamboyant non plus mais très bien classé, et Chiyohakuhô ont eux fait en sorte de ne pas faire peser plus que nécessaire sur leur carrière l'affaire des paris illégaux. et sont les deux revenants de cette promotion. Par contre, Kasuganishiki, qui était le plus bas classé des anciens bannis et avait besoin de plus qu'un kachikoshi, s'est écroulé à 1-6. Il va descendre davantage dans la division makushita et ne pourra même pas remonter en jûryô après le Kyûshû basho.
Kyûshû basho 2010 : promotions makushita vers jûryô | ||||||||
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Shikona | Heya | Nom | Né le | A | Débuts | Aki 2010 | ||
Daidô | 大道 | Onomatsu | NAKANISHI Kenji | 21/08/1982 | Tôkyô | 03/2005 | O-Ms1 | 4-3 |
Akiseyama | 明瀬山 | Kitanoumi | FUKAO Mitsuhiko | 18/07/1985 | Aichi | 01/2008 | E-Ms2 | 4-3 |
Masunoyama | 舛ノ山 | Chiganoura | KATÔ Tomoharu | 01/11/1990 | Chiba | 07/2006 | E-Ms3 | 5-2 |
Tsurugidake | 剣武 | Musashigawa | MIYAMOTO Kazuteru | 07/02/1979 | Saitama | 03/2001 | O-Ms3 | 4-3 |
Chiyohakuhô | 千代白鵬 | Kokonoe | KAKIUCHI Daiki | 21/04/1983 | Kumamoto | 03/1999 | O-Ms5 | 6-1 |
Takayasu | 高安 | Naruto | TAKAYASU Akira | 28/02/1990 | Ibaraki | 03/2005 | O-Ms13 | 7-0 |
Nerveux pendant la conférence de presse, |
heureux en compagnie de ses parents. |
A tout seigneur tout honneur, c’est Takayasu (高安, 20 ans, Naruto) qui ouvre le bal des nouveaux sekitori. A défaut d’être le seul, il est l’aîné des "premiers sekitori nés pendant l’ère Heisei" (平成生まれ初の関取 ; 1989-). Le jeune homme de 20 ans, vainqueur invaincu de l’Aki basho makushita, est apparu nerveux pendant la conférence de presse qu’il a donnée ce matin en compagnie de son oyakata. Nerveux mais ravi : "Je suis tellement heureux d’avoir atteint un de mes objectifs.".
Takayasu a débuté au Haru basho 2005, a à peine plus de 15 ans. A l’époque, à Tsuchiura dans la préfecture d’Ibaraki (茨城県土浦市), il appartenait au club de baseball de son collège. C’est encouragé par son père et un responsable du club qu’il s’est orienté vers le sumô professionnel.. Il faut dire qu'à l'époque, il mesurait 1,83m pour 126kg. "C'est embarrassant de porter un mawashi." a-t-il d'abord hésité avant de se laisser convaincre par la confiance de Naruto oyakata (ancien yokozuna Takanosato/隆の里). Et puis il a eu du mal à s’adapter aux rigueurs de la hiérarchie et a pensé à abandonner : "Mes parents ont été un grand soutien moral. Toutes ces épreuves n’auront pas été inutiles, j’ai pu atteindre un de me objectifs.". En même temps que lui, un autre sekitori de l’ère Heisei verra le jour au Kyûshû basho, Masunoyama. "Nous sommes de la même génération et nous allons nous stimuler. J’espère que notre rivalité sera bénéfique pour le sumô professionnel." déclare Takayasu, confiant en l’avenir.
A la Naruto beya, il y a aussi Kisenosato (稀勢の里, 24 ans), qui ne confirme peut-être pas tous les espoirs placés en lui par les aficionados Japonais mais passe tout de même beaucoup de tournois chez les san’yaku, et Wakanosato (若の里, 34 ans), vétéran qui lui aussi fut un san’yaku récurrent et est toujours en division makuuchi. Et Naruto oyakata est optimiste en ce qui concerne son nouveau sekitori : "Takayasu est un volcan en éruption. C’est à partir de maintenant que nous allons savoir comment il va évoluer, mais il peut viser le rang de san’yaku et au-delà. Il a des articulations souples et aussi une bonne musculature. Il a la puissance pour répondre à ses adversaires.".
Si Takayasu doit à son zenshô yûshô d’avoir été promu malgré son classement (O-Ms13), Masunoyama, classé E-Ms3, a été pressenti comme le premier sekitori de l’ère Heisei dès son kachikoshi.
Masunoyama a débuté au Nagoya basho 2006 dont il était le seul shindeshi, situation qui lui valut déjà d’être remarqué. Il obtient rapidement de bons résultats mais souffre de lumbago jusqu’à ce que son maître, Chiganoura oyakata (ancien sekiwake Masudayama/舛田山), obtienne de Hakkaku oyakata (ancien yokozuna Hokutoumi/北勝海), qui soufrait lui-même du dos pendant sa carrière, qu’il apprenne à son élève des exercices spécifiques. Ce sera un tournant pour le jeune homme : "Je dois prendre soin moi-même de mon corps.".
Pour cet Aki basho, où il a affronté des rikishi ayant l’expérience des divisions supérieures et où son classement en faisait un promotionnable, son maître lui avait conseillé : "Tu n’as pas encore de style propre, va vers l’avant sans te poser de question.". Et le jeune homme d’1,79 m pour 171 kg a écouté. Chiganoura oyakata, très ému, peut ainsi voir naître son premier sekitori depuis qu’il a remis sur pied la heya, il y a six ans : "J’ai l’impression d’avoir franchi une première étape. C’est passé tellement vite.". Il a remporté un zenshô yûshô en division sandanme au Haru basho 2008.
Alors qu’il a débuté seul, Masunoyama s’est désormais trouvé un rival en la personne de Takayasu : "Je vais tout faire pour arriver en makuuchi le premier.".
Masunoyama s’est classé troisième aux épreuves nationales de wanpaku-zumô. Mais derrière l’ambition du jeune homme, se cache une histoire personnelle. Pour des raisons familiales, alors qu’il était au collège, il a passé un an dans la ville natale de sa mère, Maria-Cristina (49 ans), qui est philippine. Par temps de pluie, leur maison était inondée et il a dû subvenir en partie aux besoins de la famille en vendant de l’eau. Quand il est entré dans le sumô professionnel, c’était aussi en pensant à sa mère, actuellement aide-soignante au Japon : "Je veux qu’elle puisse vivre tranquillement aux Philippines sans travailler. Je veux lui acheter une maison.".
Quand il a débuté, Masunoyama a déclaré : "Je veux devenir sekitori avant d’avoir 20 ans.". Le banzuke du Kyûshû basho, où sont nom figurera pour la première fois en division jûryô, sera publié le 1er novembre. Le jour de ses 20 ans et c’est cet âge qui sera enregistré. Mais, le plus jeune des premiers sekitori de l’ère Heisei estime avoir atteint cet objectif-là : "J’avais 19 ans quand j’ai obtenu ma promotion.".
Takayasu a débuté au Haru basho 2005, a à peine plus de 15 ans. A l’époque, à Tsuchiura dans la préfecture d’Ibaraki (茨城県土浦市), il appartenait au club de baseball de son collège. C’est encouragé par son père et un responsable du club qu’il s’est orienté vers le sumô professionnel.. Il faut dire qu'à l'époque, il mesurait 1,83m pour 126kg. "C'est embarrassant de porter un mawashi." a-t-il d'abord hésité avant de se laisser convaincre par la confiance de Naruto oyakata (ancien yokozuna Takanosato/隆の里). Et puis il a eu du mal à s’adapter aux rigueurs de la hiérarchie et a pensé à abandonner : "Mes parents ont été un grand soutien moral. Toutes ces épreuves n’auront pas été inutiles, j’ai pu atteindre un de me objectifs.". En même temps que lui, un autre sekitori de l’ère Heisei verra le jour au Kyûshû basho, Masunoyama. "Nous sommes de la même génération et nous allons nous stimuler. J’espère que notre rivalité sera bénéfique pour le sumô professionnel." déclare Takayasu, confiant en l’avenir.
A la Naruto beya, il y a aussi Kisenosato (稀勢の里, 24 ans), qui ne confirme peut-être pas tous les espoirs placés en lui par les aficionados Japonais mais passe tout de même beaucoup de tournois chez les san’yaku, et Wakanosato (若の里, 34 ans), vétéran qui lui aussi fut un san’yaku récurrent et est toujours en division makuuchi. Et Naruto oyakata est optimiste en ce qui concerne son nouveau sekitori : "Takayasu est un volcan en éruption. C’est à partir de maintenant que nous allons savoir comment il va évoluer, mais il peut viser le rang de san’yaku et au-delà. Il a des articulations souples et aussi une bonne musculature. Il a la puissance pour répondre à ses adversaires.".
平成 : Heisei ! |
Masunoyama a débuté au Nagoya basho 2006 dont il était le seul shindeshi, situation qui lui valut déjà d’être remarqué. Il obtient rapidement de bons résultats mais souffre de lumbago jusqu’à ce que son maître, Chiganoura oyakata (ancien sekiwake Masudayama/舛田山), obtienne de Hakkaku oyakata (ancien yokozuna Hokutoumi/北勝海), qui soufrait lui-même du dos pendant sa carrière, qu’il apprenne à son élève des exercices spécifiques. Ce sera un tournant pour le jeune homme : "Je dois prendre soin moi-même de mon corps.".
Pour cet Aki basho, où il a affronté des rikishi ayant l’expérience des divisions supérieures et où son classement en faisait un promotionnable, son maître lui avait conseillé : "Tu n’as pas encore de style propre, va vers l’avant sans te poser de question.". Et le jeune homme d’1,79 m pour 171 kg a écouté. Chiganoura oyakata, très ému, peut ainsi voir naître son premier sekitori depuis qu’il a remis sur pied la heya, il y a six ans : "J’ai l’impression d’avoir franchi une première étape. C’est passé tellement vite.". Il a remporté un zenshô yûshô en division sandanme au Haru basho 2008.
Porté en triomphe par ses camarades. |
Masunoyama s’est classé troisième aux épreuves nationales de wanpaku-zumô. Mais derrière l’ambition du jeune homme, se cache une histoire personnelle. Pour des raisons familiales, alors qu’il était au collège, il a passé un an dans la ville natale de sa mère, Maria-Cristina (49 ans), qui est philippine. Par temps de pluie, leur maison était inondée et il a dû subvenir en partie aux besoins de la famille en vendant de l’eau. Quand il est entré dans le sumô professionnel, c’était aussi en pensant à sa mère, actuellement aide-soignante au Japon : "Je veux qu’elle puisse vivre tranquillement aux Philippines sans travailler. Je veux lui acheter une maison.".
Quand il a débuté, Masunoyama a déclaré : "Je veux devenir sekitori avant d’avoir 20 ans.". Le banzuke du Kyûshû basho, où sont nom figurera pour la première fois en division jûryô, sera publié le 1er novembre. Le jour de ses 20 ans et c’est cet âge qui sera enregistré. Mais, le plus jeune des premiers sekitori de l’ère Heisei estime avoir atteint cet objectif-là : "J’avais 19 ans quand j’ai obtenu ma promotion.".
Avec Kitanoumi oyakata |
Fukao (深尾, 25 ans, Kitanoumi), ancien capitaine de l’équipe de sumô de l’université Nichidai (日大) et yokozuna écolier en 4ème et 5ème années d’école primaire, n’a obtenu qu’un kachikoshi minimal à l’Aki basho, mais étant classé E-Ms2, il lui a suffit pour être promu en division jûryô. Il a exprimé sa joie avec tranquillité : "J’ai stagné dans les premiers rangs de la division makushita alors bien sûr que je suis content. Je suis arrivé jusque-là grâce à l’aide de mon entourage. Si je n’avais pas rencontré les deux maîtres Yamada, je ne serais pas là.". Au Haru basho 2008, son premier tournoi, Fukao a remporté un zenshô yûshô en division jonokuchi. Deux mois plus tard, au Natsu basho, il a fini invaincu mais a perdu en kettei-sen. En quatre tournois mae-zumô inclus, il a atteint la division makushita dont il a remporté le yûshô au Nagoya basho 2009. Rapidement arrivé dans le haut de la division, Fukao y a en effet un peu bloqué. Mais en mai dernier, à la dissolution de celle-ci, il a été transféré de la Kise beya à la Kitanoumi beya et il a su en tirer profit : "Il y a plus de rikishi du haut de la division makushita, il y a plus d’entraînements, c’est bien. Au Kyûshû basho, je vais faire en sorte de ne pas avoir de regrets.".
Sa gratitude ne se limite pas à des paroles et s’exprime à travers son nouveau shikona, Akiseyama/明瀬山, qui en trois kanji rend hommage aux cinq personnes qui ont fait de lui ce qu’il est. "明"/Aki c’est pour son père 光明/Mitsuaki et sa mère 明美/Akemi. "瀬"/se c’est pour Kise oyakata (木瀬親方), le maître de ses débuts professionnels. Et "山"/yama, c’est pour ses entraîneurs homonymes MM. Yamada/山田, celui de son enfance dans la région de Nagoya et celui du prestigieux lycée Saitama Sakae.
Sa gratitude ne se limite pas à des paroles et s’exprime à travers son nouveau shikona, Akiseyama/明瀬山, qui en trois kanji rend hommage aux cinq personnes qui ont fait de lui ce qu’il est. "明"/Aki c’est pour son père 光明/Mitsuaki et sa mère 明美/Akemi. "瀬"/se c’est pour Kise oyakata (木瀬親方), le maître de ses débuts professionnels. Et "山"/yama, c’est pour ses entraîneurs homonymes MM. Yamada/山田, celui de son enfance dans la région de Nagoya et celui du prestigieux lycée Saitama Sakae.
Tsurugidake (剣武, 31 ans, Musashigawa) est le vétéran de la promotion. Il a fait ses débuts au Haru basho 2001 et il lui aura fallu 58 tournois pour atteindre la division jûryô. Il est issu de l’université Nittai (日体), tout comme le prometteur Tateno/Chiyozakura vainqueur invaincu en jonidan et sandanme, et sa promotion est la plus lente parmi celles des rikishi issus de l’université : "Ca a été tellement long. Je ne peux rien dire d'autre que 'Je suis heureux'. Je me suis parfois demandé si ce n’était pas insensé mais finalement j’ai bien fait de ne pas baisser les bras.". Car Tsurugidake doit faire face à un problème de vue. Il a une acuité visuelle de quatre aux deux yeux et a dû se faire opérer de la rétine : "Je souffre de cataracte à l'oeil gauche et je vois brouillé. Mais si je me fais opérer, je ne pourrai pas continuer le sumô.". "Il pourrait perdre la vue." précise son maître Musashigawa oyakata. Devant ce risque, il a pensé à abandonner mais son collègue de heya Kakizoe, issu de la même université et qui a débuté en Ms15TD à l’Aki basho 2001, l'a encouragé. Lors de son interview télévisée de promotion en division makuuchi, au Haru baso 2009, alors que Tsurugidake était hospitalisé pour se faire opérer et envisageait de se retirer, Kakizoe a pensé à lui : "Je me bats pour Miyamoto (vrai nom de Tsurugidake) qui est actuellment à l'hôpital.". Et c'est à Kakizoe qu'il a annoncé en premier sa promotion.
Musashigawa et Fujishima oyakata |
Musashigawa oyakata et son dernier nouveau sekitori |
Au sein de la heya, il a été affecté à plusieurs postes subalternes et est notamment le tsukebito de Kakizoe. Avec cette promotion, sa détermination trouve un second souffle : "Tant que mes yeux me le permettront, j’irai jusqu’au bout. Je ne suis plus très jeune mais je veux quand même avoir comme objectif la promotion en makuuchi.".
La promotion de Tsurugidake sera aussi la dernière pour la Musashigawa beya. Aux côtés du rikishi, il y avait son maître et ancien rijichô Musashigawa oyakata. : "Je suis content qu'il soit devenu sekitori lors de mon dernier tournoi.". Il a aussi annoncé à la presse que dès demain, le 30, il cèdera officiellement sa heya à Fujishima oyakata. Comme on le sait depuis quelques temps déjà, cette passation s’accompagnera d’un changement de nom et la Musashigawa beya deviendra la Fujishima beya (ici).
La promotion de Tsurugidake sera aussi la dernière pour la Musashigawa beya. Aux côtés du rikishi, il y avait son maître et ancien rijichô Musashigawa oyakata. : "Je suis content qu'il soit devenu sekitori lors de mon dernier tournoi.". Il a aussi annoncé à la presse que dès demain, le 30, il cèdera officiellement sa heya à Fujishima oyakata. Comme on le sait depuis quelques temps déjà, cette passation s’accompagnera d’un changement de nom et la Musashigawa beya deviendra la Fujishima beya (ici).
Sanspo, Mainichi, Jijicom