MATSUO Masashi/松尾 将志, élève en troisième année au collége de Kitagata dans la préfecture de Saga/佐賀県武雄市北方町 peut sembler être un petit gabarit, mais il n'en est pas moins un rikishi aguerri qui obtient de bons résultats au niveau national depuis l'école primaire. Sa technique, basée sur sa rapidité, l'a fait remarqué par son oyakata qui l'a encouragé à devenir professionnel.
Son père Kiyoshi/清史, 39 ans, est deuxième dan de jûdô et a pratiqué le sumô amateur. C'est lui qui a incité son fils a commencé le sport national. La famille vivait dans la préfecture d'Aichi et le petit Masashi, alors âgé de six ans, s'est inscrit dans un club de la ville d'Ichinomiya/愛知県一宮市. En quatrième année, il a atteint les quarts de finale aux championnats nationaux de wanpakuzumô. Il est aussi devenu un familier des locaux que la Sadogatake-beya occupe à Ichinomiya lors du Nagoya basho.
Au printemps 2006, il a intégré le club de sumô d'un lycée de la préfecture de Gifu (voisine de celle d'Aichi) et, en troisième année de collège, il s'est classé parmi les seize meilleurs d'un compétition nationale. En octobre dernier, la famille est retournée à Kitagata, la ville natale du père. MATSUO Masashi fréquente actuellement le club de sumô de Karatsu/佐賀県唐津市. Il a un temps pensé à poursuivre sa scolarité mais son oyakata lui conseillé le contraire : "Plus tu commenceras tôt, plus tu pourras te développer.".
Malgré son gabarit, son tachi-ai vif et ses frappes puissantes lui permettent de battre des adversaires plus grands, comme son modèle le yokozuna Harumafuji. Il fait de son mieux pour prendre du poids en mangeant trois bols de riz, une grand bol de lait et un gateau au tôfu à chaque repas.
Sadogatake oyakata doit lui rendre visite le 9 février. En attendant, son père l'encourage, "Je veux qu'il vise toujours plus haut sans se satisfaire de ce qu'il a déjà." et il lui se permet tous les espoirs : "Les entraînements sont très durs mais les victoires me donneront du courage. Je veux m'entraîner comme un pro et réaliser mon rêve le plus vite possible.".
Son père Kiyoshi/清史, 39 ans, est deuxième dan de jûdô et a pratiqué le sumô amateur. C'est lui qui a incité son fils a commencé le sport national. La famille vivait dans la préfecture d'Aichi et le petit Masashi, alors âgé de six ans, s'est inscrit dans un club de la ville d'Ichinomiya/愛知県一宮市. En quatrième année, il a atteint les quarts de finale aux championnats nationaux de wanpakuzumô. Il est aussi devenu un familier des locaux que la Sadogatake-beya occupe à Ichinomiya lors du Nagoya basho.
Au printemps 2006, il a intégré le club de sumô d'un lycée de la préfecture de Gifu (voisine de celle d'Aichi) et, en troisième année de collège, il s'est classé parmi les seize meilleurs d'un compétition nationale. En octobre dernier, la famille est retournée à Kitagata, la ville natale du père. MATSUO Masashi fréquente actuellement le club de sumô de Karatsu/佐賀県唐津市. Il a un temps pensé à poursuivre sa scolarité mais son oyakata lui conseillé le contraire : "Plus tu commenceras tôt, plus tu pourras te développer.".
Malgré son gabarit, son tachi-ai vif et ses frappes puissantes lui permettent de battre des adversaires plus grands, comme son modèle le yokozuna Harumafuji. Il fait de son mieux pour prendre du poids en mangeant trois bols de riz, une grand bol de lait et un gateau au tôfu à chaque repas.
Sadogatake oyakata doit lui rendre visite le 9 février. En attendant, son père l'encourage, "Je veux qu'il vise toujours plus haut sans se satisfaire de ce qu'il a déjà." et il lui se permet tous les espoirs : "Les entraînements sont très durs mais les victoires me donneront du courage. Je veux m'entraîner comme un pro et réaliser mon rêve le plus vite possible.".
Un exemple pour la jeunesse 04-02-2012 | Visite de Sadogatake oyakata 09-02-2012 |