La ville de Minamiawaji, préfecture de Hyôgo, va fournir deux recrues à l'Isegahamabeya de Harumafuji et Aminishki : MINAMI Seiya (18 ans, 1,73m/125kg) et FUKUOKA Shôki (15 ans, 1,69m/90kg).
Tous deux ont commencé le sumô à l'époque de l'école primaire, dans un dôjô local tenu depuis vingt ans par M. SUNADA, qui a déjà formé trois rikishi.
Il est prévu qu'ils fassent leurs débuts en mars mais MINAMI Seiya a en fait passé le shindeshi kensa de janvier. Après le collège municipal de Mihara, il a été invité à intégrer le lycée privé Ichikawa, réputé en matière de sumô. Les débuts furent difficiles pour l'adolescent, séparé de ses parents et confronté à un niveau relevé. La première année, il est passé de 115 à 100 kg. Mais il s'est accroché et en deuxième année a participé aux compétitions par équipe avec son lycée. En mai 2009, il a été demi-finaliste aux championnats lycéens de la région de Kinki. MINAMI Seiya a hésité entre le sumô et l'université. Finalement, son rêve de collégien de côtoyer l'ôzeki Harumafuji et la chaleur d'Isegahama oyakata l'ont emporté : "Je veux devenir rapidement professionnel et ne plus être une charge pour mes parents.". M. Sunada, de qui il a appris les bases, est optimiste : "Il est du genre qui s'entraîne dur et en silence. Il a les qualités pour être au moins jûryô.".
FUKUOKA Shôki est issu du même collège que son aîné. En deuxième année de collège, il a remporté le titre individuel aux championnats départementaux. Il a pour modèle le sumô tactique et technique de l'ôzeki Harumafuji.
Le 5 février, une réception a été donnée en l'honneur des deux jeunes garçons et de leur départ vers leur nouvelle vie (photo).
M. NAKATA Katsuhisa (maire de Minamiawaji, à gauche) : "Je souhaite bonne chance à nos deux concitoyens. Surmontez les épreuves une par une et rapprochez-vous de vos objectifs."
MINAMI Seiya (à droite): "Mon modèle est mon aîné du lycée Ichikawa, Ôtsukasa (ici). Je vais faire de mon mieux, en puisant de la force dans votre soutien à tous."
FUKUOKA Shôki (au centre) : "Je vais faire tout mon possible, pour ne pas avoir de regrets."
Tous deux ont commencé le sumô à l'époque de l'école primaire, dans un dôjô local tenu depuis vingt ans par M. SUNADA, qui a déjà formé trois rikishi.
Il est prévu qu'ils fassent leurs débuts en mars mais MINAMI Seiya a en fait passé le shindeshi kensa de janvier. Après le collège municipal de Mihara, il a été invité à intégrer le lycée privé Ichikawa, réputé en matière de sumô. Les débuts furent difficiles pour l'adolescent, séparé de ses parents et confronté à un niveau relevé. La première année, il est passé de 115 à 100 kg. Mais il s'est accroché et en deuxième année a participé aux compétitions par équipe avec son lycée. En mai 2009, il a été demi-finaliste aux championnats lycéens de la région de Kinki. MINAMI Seiya a hésité entre le sumô et l'université. Finalement, son rêve de collégien de côtoyer l'ôzeki Harumafuji et la chaleur d'Isegahama oyakata l'ont emporté : "Je veux devenir rapidement professionnel et ne plus être une charge pour mes parents.". M. Sunada, de qui il a appris les bases, est optimiste : "Il est du genre qui s'entraîne dur et en silence. Il a les qualités pour être au moins jûryô.".
FUKUOKA Shôki est issu du même collège que son aîné. En deuxième année de collège, il a remporté le titre individuel aux championnats départementaux. Il a pour modèle le sumô tactique et technique de l'ôzeki Harumafuji.
Le 5 février, une réception a été donnée en l'honneur des deux jeunes garçons et de leur départ vers leur nouvelle vie (photo).
M. NAKATA Katsuhisa (maire de Minamiawaji, à gauche) : "Je souhaite bonne chance à nos deux concitoyens. Surmontez les épreuves une par une et rapprochez-vous de vos objectifs."
MINAMI Seiya (à droite): "Mon modèle est mon aîné du lycée Ichikawa, Ôtsukasa (ici). Je vais faire de mon mieux, en puisant de la force dans votre soutien à tous."
FUKUOKA Shôki (au centre) : "Je vais faire tout mon possible, pour ne pas avoir de regrets."