Tard dans la soirée du 6 juillet, un journaliste du service des sports de la NHK a envoyé un SMS à Tokitsukaze oyakata afin de le prévenir des perquisitions prévues par la police dans le cadre du scandale des paris illégaux et des possibles liens avec le crime organisé. Plusieurs heya étaient visées, dont la Tokitsukaze. Les perquisitions ont eu lieu dès le lendemain.
Tokitsukaze oyakata, à qui le journaliste avait demandé de rester discret, a reconnu avoir reçu le message mais a affirmé tant à la presse qu’à la police qu’il n’avait rien sollicité du journaliste et n’avait pris aucune mesure suite à cette information. Ce dernier point semble être confirmé.
Hanaregoma rijichô a déclaré que si la police le demandait, la NSK prêterait son concours à l’enquête dont elle comptait suivre la progression. Il a ajouté qu’il n’était au courant de rien avant de l’apprendre dans l’après-midi du 8 octobre. Apparemment, personne à la NSK n’aurait eu vent de l’affaire avant que la police n’en fasse état. Toujours selon Hanaregoma rijichô, et bien que Tokitsukaze n’ait rien dit à la NSK au moment des faits, celle-ci n’envisage pas pour l’instant de lui demander davantage d'explications.
Tokitsukaze oyakata, à qui le journaliste avait demandé de rester discret, a reconnu avoir reçu le message mais a affirmé tant à la presse qu’à la police qu’il n’avait rien sollicité du journaliste et n’avait pris aucune mesure suite à cette information. Ce dernier point semble être confirmé.
Hanaregoma rijichô a déclaré que si la police le demandait, la NSK prêterait son concours à l’enquête dont elle comptait suivre la progression. Il a ajouté qu’il n’était au courant de rien avant de l’apprendre dans l’après-midi du 8 octobre. Apparemment, personne à la NSK n’aurait eu vent de l’affaire avant que la police n’en fasse état. Toujours selon Hanaregoma rijichô, et bien que Tokitsukaze n’ait rien dit à la NSK au moment des faits, celle-ci n’envisage pas pour l’instant de lui demander davantage d'explications.
Jijicom, Mainichi