Parmi les jeunes gens qui se sont présentés au shindeshi kensa n°1 du 5 mars, SAKURAIDA Shôtarô (坂井田 翔太郎), 18 ans, venu d'Oirase préfecture d'Aomori (青森県おいらせ町) pour intégrer la Kokonoebeya. A l'incertitude quant à ses débuts, il oppose son rève : « Je veux combattre devant beaucoup de spectateurs. » mais avoue tout de même : « Que va-t-il se passer maintenant ? Je ne peux pas dire que je ne m'inquiète pas du tout. Jusqu'au prochain tournoi, je vais développer ma force, prendre du poids et développer mon physique. ».
Il a pratiqué le sumô à l'école primaire puis le basket au collège et le rugby au lycée. L'envie de devenir professionnel lui est venue à l'époque du lycée, en voyant l'ancien yokozuna Asashôryû à la télévision : « J'admirais sa formidable technique et son esprit combatif et progressivement l'envie de me lancer dans le monde du sumô professionnel est devenue de plus en plus forte. ». Et il est allé frapper à la porte de la Kokonoebeya, dirigée par l'ancien yokozuna Chiyonofuji.
Le yokozuna universitaire 2010, MEIGETSUIN Hidemasa, était également parmi les candidats du shindeshi kensa : « Il y a une grande différence de puissance mais j'ai envie de rivaliser. Je vais m'entraîner pour le dépasser un jour ou l'autre. Je veux devenir sekitori rapidement et enflammer le Kokugikan. La route va être difficile mais j'ai confiance en ma capacité à arriver au bout. ».
Il a pratiqué le sumô à l'école primaire puis le basket au collège et le rugby au lycée. L'envie de devenir professionnel lui est venue à l'époque du lycée, en voyant l'ancien yokozuna Asashôryû à la télévision : « J'admirais sa formidable technique et son esprit combatif et progressivement l'envie de me lancer dans le monde du sumô professionnel est devenue de plus en plus forte. ». Et il est allé frapper à la porte de la Kokonoebeya, dirigée par l'ancien yokozuna Chiyonofuji.
Le yokozuna universitaire 2010, MEIGETSUIN Hidemasa, était également parmi les candidats du shindeshi kensa : « Il y a une grande différence de puissance mais j'ai envie de rivaliser. Je vais m'entraîner pour le dépasser un jour ou l'autre. Je veux devenir sekitori rapidement et enflammer le Kokugikan. La route va être difficile mais j'ai confiance en ma capacité à arriver au bout. ».
Tônippô