Ce 7 mars, le comité spécial a mis en route une nouvelle vague d'entretiens avec les 35 rikishi contre lesquels des soupçons de yaochô existent. Un mois après le début de l'affaire, 99 personnes ont été interrogées. En se basant sur le résultat de ces entretiens et les aveux passés et en concentrant ces nouvelles auditions sur la division jûryô, le comité compte en terminer définitivement avec cette affaire. Pour mener ces entretiens, les avocats membres du comité spécial seront répartis en trois groupes qui travailleront simultanément.
Jusqu'à maintenant, le comité tient pour acquise la culpabilité de Takenawa oyakata/ex-Kasuganishiki, Chiyohakuhô, Enatsukasa, qui ont avoué, et de Kiyoseumi, qui n'a pas avoué mais est incriminé par le contenu des mails. De forts soupçons pèsent sur seize autres personnes, dont les rikishi de division jûryô Masatsukasa et Asôfuji. Quinze autres personnes sont également soupçonnées mais à un degré moindre. Ce sont donc ces 35 personnes qui seront à nouveau interrogées. L'enquête pourrait durer encore deux mois.
A partir de ces entretiens, le comité spécial proposera à la NSK des sanctions à l'encontre de ceux qui auront été reconnus coupables. Pour ceux qui auront coopéré à l'enquête, l'intai (引退勧告/intai kankoku) avec indemnités de départ sera recommandée, pour ceux qui n'auront pas coopéré, ce sera l'exclusion (除名/jomei) sans indemnités.
D'après la presse, Asôfuji n'aurait pas été le seul à avoir été "invité" par le comité spécial à avouer. Trois autres rikishi de divisions jûryô auraient subi le même traitement, dont un faisant partie des 14. L'avocat chargé de l'entendre lui aurait brusquement dit : "Tu es coupable (noir).". Indigné et ne comprenant pas, le rikishi lui aurait demandé de répéter. Sans réelles preuves, l'avocat lui aurait simplement présenté un tableau des combats en disant : "Il s'est terminé comme décrit dans les mails.". Le rikshi se défend : "Tout ce que je pouvais dire c'est que ce que je n'ai pas fait je ne l'ai pas fait. Si je suis convoqué j'irai chaque fois, mais ce que j'ai à dire ne changera pas.".
Jusqu'à maintenant, le comité tient pour acquise la culpabilité de Takenawa oyakata/ex-Kasuganishiki, Chiyohakuhô, Enatsukasa, qui ont avoué, et de Kiyoseumi, qui n'a pas avoué mais est incriminé par le contenu des mails. De forts soupçons pèsent sur seize autres personnes, dont les rikishi de division jûryô Masatsukasa et Asôfuji. Quinze autres personnes sont également soupçonnées mais à un degré moindre. Ce sont donc ces 35 personnes qui seront à nouveau interrogées. L'enquête pourrait durer encore deux mois.
A partir de ces entretiens, le comité spécial proposera à la NSK des sanctions à l'encontre de ceux qui auront été reconnus coupables. Pour ceux qui auront coopéré à l'enquête, l'intai (引退勧告/intai kankoku) avec indemnités de départ sera recommandée, pour ceux qui n'auront pas coopéré, ce sera l'exclusion (除名/jomei) sans indemnités.
D'après la presse, Asôfuji n'aurait pas été le seul à avoir été "invité" par le comité spécial à avouer. Trois autres rikishi de divisions jûryô auraient subi le même traitement, dont un faisant partie des 14. L'avocat chargé de l'entendre lui aurait brusquement dit : "Tu es coupable (noir).". Indigné et ne comprenant pas, le rikishi lui aurait demandé de répéter. Sans réelles preuves, l'avocat lui aurait simplement présenté un tableau des combats en disant : "Il s'est terminé comme décrit dans les mails.". Le rikshi se défend : "Tout ce que je pouvais dire c'est que ce que je n'ai pas fait je ne l'ai pas fait. Si je suis convoqué j'irai chaque fois, mais ce que j'ai à dire ne changera pas.".
Mainichi, Hochi