Ôshima oyakata (大島親方, ancien ôzeki Asahikuni/旭國) aura 65 ans le 25 avril 2012 et devra donc quitter son poste. Or, tout comme à la récemment dissoute Tagonoura-beya, il n'y a pas d'oyakata attaché à l'Ôshima-beya et donc pas de successeur évident. La perspective de la fermerutre de la heya n'est donc pas à exclure et Ôshima oyakata est à la recherche d'un point de chute pour ses rikishi : "Quelle que soit l'option qui sera choisie, j'aimerais bien qu'une orientation soit prise avant le tournoi.".
Car l'alternative laisse également envisager la reprise de la heya par Kyokutenhô (旭天鵬, 37 ans, E-M3), le rikishi le mieux classé de la heya, d'origine mongole mais naturalisé japonais en 2005. Celui-ci tient à faire honneur à son maître pour son dernier tournoi : "Pour notre maître, nous voulons tous faire un bon tournoi.". Il faut dire que le vétéran a fait ses débuts il y a tout juste vingt ans au Haru basho 1992 et il évoque ces années passées près de son maître avec émotion : "Il y a des vrais pères et fils qui n'ont pas passé autant de temps ensemble.". Ceci dit, il n'est apparemment pas prêt à raccrocher le mawashi : "J'ai encore faim de dohyô. Je veux continuer encore un peu.".
Car l'alternative laisse également envisager la reprise de la heya par Kyokutenhô (旭天鵬, 37 ans, E-M3), le rikishi le mieux classé de la heya, d'origine mongole mais naturalisé japonais en 2005. Celui-ci tient à faire honneur à son maître pour son dernier tournoi : "Pour notre maître, nous voulons tous faire un bon tournoi.". Il faut dire que le vétéran a fait ses débuts il y a tout juste vingt ans au Haru basho 1992 et il évoque ces années passées près de son maître avec émotion : "Il y a des vrais pères et fils qui n'ont pas passé autant de temps ensemble.". Ceci dit, il n'est apparemment pas prêt à raccrocher le mawashi : "J'ai encore faim de dohyô. Je veux continuer encore un peu.".
