En attendant plus...
Après sa danpatsushiki, Asashôryû a répondu aux questions des journalistes. Quelques extraits.
Q : Votre danpatsushiki est terminée.
Asashôryû : J’ai été aussi encouragé que lors d’un kettei-sen un dernier jour de tournoi. Je ne pouvais pas être plus heureux. C’est une première et une dernière expérience. J’ai été submergé par beaucoup de pensées.
Q : Beaucoup de gens ont participé à la coupe du mage.
Asashôryû : J’ai été très ému quand ça a été le tour d’Asasekiryû avec qui je suis venu de Mongolie. Kokonoe oyakata (ancien yokozuna Chiyonofuji), qui était mon modèle le plus important dans le sumô, est venu aussi. Je le remercie de tout coeur.
Q : A la fin de la cérémonie , vous avez embrassé le dohyô.
Asashôryû : Le dohyô a été indispensable à ma vie, c'est une chose très importante. Je lui suis terriblement reconnaissant.
Q : Si vous pouviez recommencer, que changeriez-vous ?
Asashôryû : J’aimerais devenir un yokozuna qui porte l’esprit du Japon (Yamatodamashi/ 大和魂) comme un Japonais.
Q : Vous avez été très acclamé lors de votre dohyô-iri.
Asashôryû : Ca faisait longtemps que je ne l’avais pas fait alors je me suis demandé si je pourrais encore.
Q : Et votre seconde vie ?
Asashôryû : Je n'en sais rien du tout mais je vais prendre la trentaine et la quarantaine à bras-le-corps. Dans la vie, il y a des vallées et des montagnes. Je veux devenir un homme meilleur. J’ai des projets mais j’en parlerai quand je les aurai réalisés.
Q : Vous souhaitiez battre le record de 32 yûshô ?
Asashôryû : Ca ne s’est pas fait donc inutile d’en parler. Mais c’était mon principal objectif de rikishi.
Avant la cérémonie, son ex-épouse, sa fille et les fans
Dernier dohyô-iri (Harumafuji en tachimochi et Asasekiryû en tsuyuharai)
Entre yokozuna
Le baiser au dohyô-iri
Le nouveau visage de l'ancien yokozuna
Quelques images
Après sa danpatsushiki, Asashôryû a répondu aux questions des journalistes. Quelques extraits.
Avec son fils |
Avec le maître Takasago |
Asashôryû : J’ai été aussi encouragé que lors d’un kettei-sen un dernier jour de tournoi. Je ne pouvais pas être plus heureux. C’est une première et une dernière expérience. J’ai été submergé par beaucoup de pensées.
Q : Beaucoup de gens ont participé à la coupe du mage.
Asashôryû : J’ai été très ému quand ça a été le tour d’Asasekiryû avec qui je suis venu de Mongolie. Kokonoe oyakata (ancien yokozuna Chiyonofuji), qui était mon modèle le plus important dans le sumô, est venu aussi. Je le remercie de tout coeur.
Q : A la fin de la cérémonie , vous avez embrassé le dohyô.
Asashôryû : Le dohyô a été indispensable à ma vie, c'est une chose très importante. Je lui suis terriblement reconnaissant.
Q : Si vous pouviez recommencer, que changeriez-vous ?
Asashôryû : J’aimerais devenir un yokozuna qui porte l’esprit du Japon (Yamatodamashi/ 大和魂) comme un Japonais.
Q : Vous avez été très acclamé lors de votre dohyô-iri.
Asashôryû : Ca faisait longtemps que je ne l’avais pas fait alors je me suis demandé si je pourrais encore.
Avant-après |
Asashôryû : Je n'en sais rien du tout mais je vais prendre la trentaine et la quarantaine à bras-le-corps. Dans la vie, il y a des vallées et des montagnes. Je veux devenir un homme meilleur. J’ai des projets mais j’en parlerai quand je les aurai réalisés.
Q : Vous souhaitiez battre le record de 32 yûshô ?
Asashôryû : Ca ne s’est pas fait donc inutile d’en parler. Mais c’était mon principal objectif de rikishi.
Avant la cérémonie, son ex-épouse, sa fille et les fans
Dernier dohyô-iri (Harumafuji en tachimochi et Asasekiryû en tsuyuharai)
Entre yokozuna
Le baiser au dohyô-iri
Le nouveau visage de l'ancien yokozuna
Quelques images