Lors d'une conférence de presse donnée en début d'après-midi, Sôkokurai, sanctionné dans l'affaire du yaochô qui a refusé de se soumettre et avait déposé devant le tribunal de Tôkyô une demande pour conserver son statut de rikishi et son salaire, a annoncé qu'un accord provisoire a été trouvé entre lui et la NSK. Il recevra pendant un an son salaire de rikishi de division makuuchi (1.309.000¥, un peu plus de 11.000€). Les trois demandes précédentes déposées par des rikishi, la dernière en date étant celle de Kotomitsuki, avaient toutes été rejetées et l'accord est donc une première. Reste la demande de réintégration qui devrait faire l'objet d'un procès.
D'après ce qu'ont déclaré Sôkokurai et ses avocats lors de la conférence de presse, le tribunal de Tôkyô aurait exigé à la fin du mois dernier qu'un accord soit trouvé entre les deux parties. La période d'un an a été fixée en tenant compte de la probabilité que le procès pourrait durer longtemps. Si Sôkokurai perd ce procès, il devra rendre les salaires perçus pendant cette année à la NSK. Le rikishi a accepté l'accord provisoire afin d'accélérer la tenue du procès et la prise d'effet de son éventuelle réintégration. Quant à la NSK, elle y a vu un moyen de tourner la page du yaochô au plus tôt. Par ailleurs, voir ses conclusions confirmées par un tribunal la mettrait à l'abri des critiques.
En attendant, Sôkokurai reprend espoir : "Je suis content que le tribunal ait compris ma position. Je vais reprendre les vrais entraînements. Je vais à Nagoya.". Un de ses avocats confirme : "Le fait que le tribunal ait recommandé le paiement des sommes que nous avions demandées et qu'un accord ait été trouvé est une reconnaissance de son innocence.".
D'après ce qu'ont déclaré Sôkokurai et ses avocats lors de la conférence de presse, le tribunal de Tôkyô aurait exigé à la fin du mois dernier qu'un accord soit trouvé entre les deux parties. La période d'un an a été fixée en tenant compte de la probabilité que le procès pourrait durer longtemps. Si Sôkokurai perd ce procès, il devra rendre les salaires perçus pendant cette année à la NSK. Le rikishi a accepté l'accord provisoire afin d'accélérer la tenue du procès et la prise d'effet de son éventuelle réintégration. Quant à la NSK, elle y a vu un moyen de tourner la page du yaochô au plus tôt. Par ailleurs, voir ses conclusions confirmées par un tribunal la mettrait à l'abri des critiques.
En attendant, Sôkokurai reprend espoir : "Je suis content que le tribunal ait compris ma position. Je vais reprendre les vrais entraînements. Je vais à Nagoya.". Un de ses avocats confirme : "Le fait que le tribunal ait recommandé le paiement des sommes que nous avions demandées et qu'un accord ait été trouvé est une reconnaissance de son innocence.".
Mainichi, Sanspo