En ce premier dimanche de l'année, les lutteurs ont repris le travail.
L'Estonien Baruto (25 ans, Onoebeya), qui était en fait à l'entraînement dès hier, est allé à la Musashigawabeya pour un entraînement collectif de la Dewanoumi ichimon (en photo, au centre et Iwakiyama à gauche). Le plus gradé des 22 sekitori présents, il en a montré toute l'autorité. Plaçant d'habiles uwate, il a facilement disposé entre autres de Gôeidô (23 ans, Sakaigawabeya) et de Tochiôzan (22 ans, Kasuganobeya). Avec le grade de sekiwake, Baruto est le mieux placé pour devenir le prochain ôzeki : "J'y vais doucement. Je veux avoir une bonne année et éviter les blessures.".
L'Estonien Baruto (25 ans, Onoebeya), qui était en fait à l'entraînement dès hier, est allé à la Musashigawabeya pour un entraînement collectif de la Dewanoumi ichimon (en photo, au centre et Iwakiyama à gauche). Le plus gradé des 22 sekitori présents, il en a montré toute l'autorité. Plaçant d'habiles uwate, il a facilement disposé entre autres de Gôeidô (23 ans, Sakaigawabeya) et de Tochiôzan (22 ans, Kasuganobeya). Avec le grade de sekiwake, Baruto est le mieux placé pour devenir le prochain ôzeki : "J'y vais doucement. Je veux avoir une bonne année et éviter les blessures.".
Les deux yokozuna se sont eux aussi remis à l'ouvrage dans leur heya respectives.
Revenu de Mongolie hier, Asashôryû a affronté les lutteurs de sandanme et a scrupuleusement exécuté des shiko : "Je suis d'humeur positive. Je veux avoir une bonne année.". D'un air épanoui, il a également évoqué son premier lever de soleil au sommet d'une montagne de Mongolie : "J'étais sur un grand cheval et j'ai contemplé le lever de soleil d'un endroit où se trouve une statue de Genghis Khan. J'ai bien accueilli ce matin.".
Hakuhô s'est contenté d'un léger décrassage. Il a lui accueilli la nouvelle année en se rendant en famille au temple. Il est apparemment tranquille : "Je vais m'appliquer, basho après basho. Mon premier objectif sera sûrement le record de yûshô de Wajima (14, alors que Hakuhô en est à 12).".
Heya (beya dans les composés) : structure de base du sumô. Peut être assimilée à une équipe. Les moins gradés y vivent en communauté, alors que les mieux classés n'y viennent que pour "travailler".
Ichimon : les heya sont regroupées en ichimon.
Revenu de Mongolie hier, Asashôryû a affronté les lutteurs de sandanme et a scrupuleusement exécuté des shiko : "Je suis d'humeur positive. Je veux avoir une bonne année.". D'un air épanoui, il a également évoqué son premier lever de soleil au sommet d'une montagne de Mongolie : "J'étais sur un grand cheval et j'ai contemplé le lever de soleil d'un endroit où se trouve une statue de Genghis Khan. J'ai bien accueilli ce matin.".
Hakuhô s'est contenté d'un léger décrassage. Il a lui accueilli la nouvelle année en se rendant en famille au temple. Il est apparemment tranquille : "Je vais m'appliquer, basho après basho. Mon premier objectif sera sûrement le record de yûshô de Wajima (14, alors que Hakuhô en est à 12).".
Heya (beya dans les composés) : structure de base du sumô. Peut être assimilée à une équipe. Les moins gradés y vivent en communauté, alors que les mieux classés n'y viennent que pour "travailler".
Ichimon : les heya sont regroupées en ichimon.