La première question fut : "Quand allez-vous devenir yokozuna ?" et Baruto a répondu avec l'espièglerie qui le caractérise : "Cette année. Sinon, l'année prochaine. Je ne sais pas quand.".
A propos de ce qu'il faudrait faire pour protéger la tradition du sumô : "Je crois que ce serait bien d'enseigner le sumô dès l'école primaire.".
A propos du peu de rikishi japonais dans les rangs les plus hauts du banzuke : "Pour un étranger, avec du bon ou du mauvais sumô, ce qui compte c'est la victoire. Si vous ne gagnez pas ça n'a aucune valeur.".
Mise en contraste de la combativité parfois excessive d'Asashôryû et de son caractère plutôt gentil : "J'ai traversé des moments très difficiles à cause de mes blessures. Alors c'est très important pour moi de ne pas blesser mes adversaires.". "Nous avons tous notre caractère. J'espère que cette gaieté et cette gentillesse ne disparaîtront pas." a confirmé Onoe oyakata.
Source : Sanspo, Mainichi
A propos de ce qu'il faudrait faire pour protéger la tradition du sumô : "Je crois que ce serait bien d'enseigner le sumô dès l'école primaire.".
A propos du peu de rikishi japonais dans les rangs les plus hauts du banzuke : "Pour un étranger, avec du bon ou du mauvais sumô, ce qui compte c'est la victoire. Si vous ne gagnez pas ça n'a aucune valeur.".
Mise en contraste de la combativité parfois excessive d'Asashôryû et de son caractère plutôt gentil : "J'ai traversé des moments très difficiles à cause de mes blessures. Alors c'est très important pour moi de ne pas blesser mes adversaires.". "Nous avons tous notre caractère. J'espère que cette gaieté et cette gentillesse ne disparaîtront pas." a confirmé Onoe oyakata.
Source : Sanspo, Mainichi