Takanohana oyakata continue à constituer son clan. Des entraînements collectifs seront organisés entre les heya qui ont fait sécession pour se rallier à lui. Dès avant le Natsu basho, ils auront lieu à la Magakibeya et incluront également l'Ônomatsubeya et l'Ôtakebeya. "Nous organisons les premiers chez Magaki oyakata (ancien yokozuna Wakanohana II), le plus ancien d'entre nous. Ensuite, ce sera à tour de rôle dans chaque heya." a déclaré Takanohana oyakata.
Le jeune oyakata-riji a également exposé pour la première fois publiquement certaines des idées réformatrices dans l'espoir desquelles il a été élu en février. En tant que responsable du centre de formation du sumô, il a expliqué son plan en faveur de l'aide à la reconversion des anciens rikishi. Il l'a fait alors que, dans le cadre de la promotion du sumô, il visitait des écoles primaires d'Iruma, dans la préfecture de Saitama (photo).
"Nous n'en sommes encore qu'à la mise en forme du projet, mais si le centre de formation pouvait servir de marchepied pour leur seconde vie, ce serait bien. Ca concerne tous les rikishi." a-t-il déclaré tout en donnant quelques exemples concrets. La première idée de Takanohana s'inscrit dans une réforme plus large du Ministère de l'Education nationale japonais qui va rendre obligatiore à partir de 2012 l'enseignement de disciplines japonaises traditionnelles (budô) au collège. Le sumô étant une de ces disciplines, il aimerait former des instructeurs certifiés par la NSK qui participeraient à l'enseignement et, dans l'idéal, développeraient une vraie vocation de professeur de sumô. Il envisage en outre une formation de cuisinier pour ceux qui voudraient travailler notamment dans des restaurants de chanko.
Un pour cent des rikishi devient sekitori et atteint donc les divisions salariées. Beaucoup prennent leur "retraite" dans leur vingtaine, certains ayant arrêté leur scolarité avant le lycée et leur reconversion est un réel problème. "S'il y a une vraie possibilité de vie après le sumô, les parents seront rassurés et confieront plus facilement leurs enfants au milieu du sumô." a conclu Takanohana oyakata, indiquant que le but de ses réformes était aussi d'accroître le nombre de recrues.
Sources : Sanspo, Yomiuri
Le jeune oyakata-riji a également exposé pour la première fois publiquement certaines des idées réformatrices dans l'espoir desquelles il a été élu en février. En tant que responsable du centre de formation du sumô, il a expliqué son plan en faveur de l'aide à la reconversion des anciens rikishi. Il l'a fait alors que, dans le cadre de la promotion du sumô, il visitait des écoles primaires d'Iruma, dans la préfecture de Saitama (photo).
"Nous n'en sommes encore qu'à la mise en forme du projet, mais si le centre de formation pouvait servir de marchepied pour leur seconde vie, ce serait bien. Ca concerne tous les rikishi." a-t-il déclaré tout en donnant quelques exemples concrets. La première idée de Takanohana s'inscrit dans une réforme plus large du Ministère de l'Education nationale japonais qui va rendre obligatiore à partir de 2012 l'enseignement de disciplines japonaises traditionnelles (budô) au collège. Le sumô étant une de ces disciplines, il aimerait former des instructeurs certifiés par la NSK qui participeraient à l'enseignement et, dans l'idéal, développeraient une vraie vocation de professeur de sumô. Il envisage en outre une formation de cuisinier pour ceux qui voudraient travailler notamment dans des restaurants de chanko.
Un pour cent des rikishi devient sekitori et atteint donc les divisions salariées. Beaucoup prennent leur "retraite" dans leur vingtaine, certains ayant arrêté leur scolarité avant le lycée et leur reconversion est un réel problème. "S'il y a une vraie possibilité de vie après le sumô, les parents seront rassurés et confieront plus facilement leurs enfants au milieu du sumô." a conclu Takanohana oyakata, indiquant que le but de ses réformes était aussi d'accroître le nombre de recrues.
Sources : Sanspo, Yomiuri