En avril, l'Ôshima-beya, heya d'origine de Kyokutenhô, a fermé ses portes quand l'oyakata a atteint la limite d'âge (ici). Le vétéran d'origine mongole, pressenti pour prendre sa suite, avait alors préféré continuer sa carrière de rikishi à la Tomozuna-beya. S'il pensait alors avoir encore quelques beaux moments à vivre sur le dohyô, nul doute qu'il ne s'attendait pas à vivre un tel moment et remporté à 37 ans son premier, et sûrement dernier, yûshô.
Il faudra encore attendre pour voir un Japonais d'origine soulever la coupe de l'Empereur.
Il faudra encore attendre pour voir un Japonais d'origine soulever la coupe de l'Empereur.