OHTANI Misaki et Takadagawa oyakata |
OHTANI Misaki a hésité entre l'entrée dans le sumô et l'entrée au lycée mais finalement les paroles d'un ami l'ont décidé : "Il y a moins de prétendants pour le sumô que pour le base-ball ou le football et les chances sont beaucoup plus grandes.". Au collège il pratiquait donc le tennis de table mais n'a aucune expérience des sports de lutte.
Le 1er mars, Takadagawa oyakata s'est rendu au collège Minatogawa afin de présenter officiellement son nouvel élève : "Je veux évidemment qu'il devienne fort mais je veux aussi qu'il devienne un rikishi à l'ancienne, qui respecte les règles de courtoisie.". OHTANI Misaki a lui déclaré : "Je ne connais même pas le kanji 'su' de sumô mais mon premier objectif est la division jûryô. Je veux devenir un rikishi fort qui passe à la télévision et que tout le monde connaît.".
OHTANI Misaki exagère sûrement quand il dit ne pas connaître le kanji 'su' (相) de sumô (相撲). Il est en effet enseigné en troisième année d'école primaire. Ceci dit, "sumô" est probablement le seul mot du japonais courant dans lequel il se prononce 'su'.