Ce matin, le dohyô matsuri du Natsu basho a eu lieu au Ryôgoku Kokugikan. Comme voulu par Takanohana, 80 shindeshi qui fréquentent l'institut de formation du sumô y ont assisté.
Les dohyô matsuri ont lieu six fois par an, la veille du premier jour des tournois. Un autel est dressé sur le dohyô et les tategyôji officient comme prêtres. Le but de ce rituel est d'assurer la prospérité et la paix du tournoi.
Les shindeshi ont d'abord écouté Ôyama oyakata leur expliquer l'origine des dohyô matsuri puis ont assisté pendant environ 30 minutes à la cérémonie. Les rikishi des heya Tagonoura et Nishikido étaient également présents, ainsi que les cadres de la NSK.
Sawada (15 ans, Nakamura, O-Jk32) qui a fait son maezumô en mars a reconnu : "Je ne savais pas que ce genre de cérémonies avaient lieu. Ca m'a fait penser que le sumô est un sport vraiment différent des autres.".
Takanohana oyakata était satisfait : "Je suis content qu'ils aient pu voir un évènement aussi solennel. La voie du sumô commence et se termine par un certaine étiquette et je veux que ça leur serve pour en comprendre les implications en le ressentant physiquement.". Dans la foulée, il a révélé son intention de faire assister les shindeshi à des entraînements d'autres sports.
Les dohyô matsuri ont lieu six fois par an, la veille du premier jour des tournois. Un autel est dressé sur le dohyô et les tategyôji officient comme prêtres. Le but de ce rituel est d'assurer la prospérité et la paix du tournoi.
Les shindeshi ont d'abord écouté Ôyama oyakata leur expliquer l'origine des dohyô matsuri puis ont assisté pendant environ 30 minutes à la cérémonie. Les rikishi des heya Tagonoura et Nishikido étaient également présents, ainsi que les cadres de la NSK.
Sawada (15 ans, Nakamura, O-Jk32) qui a fait son maezumô en mars a reconnu : "Je ne savais pas que ce genre de cérémonies avaient lieu. Ca m'a fait penser que le sumô est un sport vraiment différent des autres.".
Takanohana oyakata était satisfait : "Je suis content qu'ils aient pu voir un évènement aussi solennel. La voie du sumô commence et se termine par un certaine étiquette et je veux que ça leur serve pour en comprendre les implications en le ressentant physiquement.". Dans la foulée, il a révélé son intention de faire assister les shindeshi à des entraînements d'autres sports.
Source : Mainichi