Félicité par son tsukebito et goûtant les plaisirs de la gloire |
Malgré son formidable parcours, le jeune Brésilien n'a pas toujours pas contacté ses parents au pays : « Je vais peut-être téléphoner à mon père et ma mère aujourd'hui. ».
« Mes jambes avancent presque sans que j'y pense, je ne suis pas nerveux. Je vais prendre les combats l'un après l'autre, en essayant de ne pas me déconcentrer. » espère-t-il continuer. Sur sa route, il pourrait d'abord rejoindre l'ancien komusubi Sadanoumi (佐 田の海, Dewanoumi) qui a obtenu neuf victoires consécutives lors de son premier tournoi en makuuchi au Kyûshû basho 1980. Depuis ce jour, seuls six nouveaux promus ont atteint huit victoires directes en 31 ans. Ensuite, il y aura les dix victoires de l'ancien yokozuna Chiyonoyama (千代ノ山, Dewanoumi) à l'Aki basho de novembre 1945 et les onze victoires de l'ancien yokozuna Taihô (大鵬, Nishonoseki) au Hatsu basho 1960.
Kaisei est également toujours le dernier rikishi aux côtés du yokozuna mais quand on lui parle de la course au yûshô : « Je n'y pense pas, ça serait une perte de temps. ».
Jijicom, Nikkan, Kyodo, Sankei