Il y a peu on se demandait qui pourrait arrêter Hakuhô et on se lamentait sur la mollesse des ôzeki.
Kotoôshû, de retour de blessure, n'a pas atteint les dix victoires mais Baruto, qui finit à "seulement" 11-4, a battu Hakuhô à l'issue d'un combat rebondissant. Et bien sûr, Harumafuji, s'il rate hélas pour lui le zenshô yûshô, remporte le yûshô en ayant battu le yokozuna et montré un beau sumô qui lui faisait défaut depuis longtemps.
Du côté des rikishi japonais, Kaiô a tourné une page importante et longue de l'histoire du sumô. Kotoshôgiku passe à côté de la promotion au rang d'ôzeki mais n'a pas démérité et ce n'est peut-être que partie remise.
Bref, et pour ne citer que ça, on pouvait craindre pire pour un tournoi qui marquait le retour après blessures de l'ôzumô lui-même.
Kotoôshû, de retour de blessure, n'a pas atteint les dix victoires mais Baruto, qui finit à "seulement" 11-4, a battu Hakuhô à l'issue d'un combat rebondissant. Et bien sûr, Harumafuji, s'il rate hélas pour lui le zenshô yûshô, remporte le yûshô en ayant battu le yokozuna et montré un beau sumô qui lui faisait défaut depuis longtemps.
Du côté des rikishi japonais, Kaiô a tourné une page importante et longue de l'histoire du sumô. Kotoshôgiku passe à côté de la promotion au rang d'ôzeki mais n'a pas démérité et ce n'est peut-être que partie remise.
Bref, et pour ne citer que ça, on pouvait craindre pire pour un tournoi qui marquait le retour après blessures de l'ôzumô lui-même.