Et, plus tard, s'excuse en conférence de presse. |
Kasugano oyakata part s'expliquer devant les riji. |
Ce matin, tout le monde sauf Tochiyashiki, entendu par la police, était à l'entraînement, comme d'habitude. Néanmoins, Tochinoshin s'est tenu éloigné de la heya les deux jours qui ont suivi les faits : "J'ai réfléchi. Mais je ne voulais pas abandonner le sumô.". En revenant, il se serait incliné devant Kasugano oyakata. Pour l'heure, il est privé de sortie et de combats d'entraînement (il peut s'entraîner mais ne peut entrer à l'intérieur du cercle de combat) : "J'ai envie d'en faire mais c'est comme ça.".
Hanaregoma rijichô, lui aussi devant les journalistes |
Tochinoshin ce matin à l'entraînement |
Hanaregoma rijichô : C'est un problème de degré. Il est difficile de dire où s'arrête la formation et où commence la violence. Nous avons entendu chacun des trois rikishi et ils reconnaissent leurs torts. Mais même dans ce cas et dans le cadre de la formation, l'usage d'un club de golf n'est pas acceptable. Nous avons adressé un sévère avertissement afin que cela ne se reproduise pas.
Les trois rikishi ont aussi été entendus par les riji. |
Tochiyashiki : Nous étions dans notre tort. Nous n'avons pas l'intention de porter plainte.
Tochinoshin : J'ai mal agi. J'ai souvent dépassé l'heure du couvre-feu. Je vais faire de mon mieux pour que ça ne se reproduise pas.
Kyodo, Jijicom, Hochi, Sponichi
* Après la mort d'un jeune deshi suite à des actes de violence en 2007 et la condamnation de son oyakata, la NSK a interdit l'usage de bâton et canne de bambou pendant les entraînements.