Gôeidô (23 ans, E-M3, Sakaigawa), dont l'objectif est un retour parmi les san'yaku, est natif de Neyagawa, ville au nord-est d'Ôsaka, et c'est là que sa heya passe le tournoi. Il a accueilli son alter ego Tochiôzan (23 ans depuis deux jours, E-M6, Kasugano) et rival "contre lequel il ne veut perdre sous aucun prétexte" ainsi que Tochinoshin (22 ans, O-M6, Kasugano). Il a remporté 24 des 31 combats qu'il a livrés contre eux, montrant des démarrages tranchants au tachiai et démontrant une belle ardeur tout au long de l'entraînement.
Makekoshi au Hatsu basho (7-8) mais victorieux d'Asashôryû, Gôeidô a revigoré le public japonais en remportant le tournoi d'ôzumo de février. Et il est décidé à être dans les rôles principaux de la course au yûshô du Haru basho : "C'est chez moi, alors je veux à tout prix faire quelque chose.".
Gôeidô, pour qui le Haru basho, ce Haru basho, est donc important, a commencé les entraînements à Neyagawa le 4 mars. Depuis qu'il est en division makuuchi (septembre 2007) il a toujours été kachikoshi à ce tournoi. Il tire sa force de ses plats préférés, kushikatsu (brochettes de porc pané) et takoyaki (boulettes de poulpe) et de ses retrouvailles avec ses amis : "Je veux y aller sans m'arrêter dès que j'aurai attrappé le mawashi. Je veux enthousiasmer tout le monde et ainsi remercier tous ceux qui ont été là pour moi.".
Gôeidô, pour qui le Haru basho, ce Haru basho, est donc important, a commencé les entraînements à Neyagawa le 4 mars. Depuis qu'il est en division makuuchi (septembre 2007) il a toujours été kachikoshi à ce tournoi. Il tire sa force de ses plats préférés, kushikatsu (brochettes de porc pané) et takoyaki (boulettes de poulpe) et de ses retrouvailles avec ses amis : "Je veux y aller sans m'arrêter dès que j'aurai attrappé le mawashi. Je veux enthousiasmer tout le monde et ainsi remercier tous ceux qui ont été là pour moi.".