Présenté comme le Chiyotaikai II, MORI Masataka (17 ans,1,75m/153kg) qui rejoint l'Ôtake beya, fait partie de ceux qui ont passé le shindeshi kensa.
A l'époque du collège, où il pratiquait le karate et le jûdô, MORI passait le plus clair de son temps à se bagarrer et était connu comme "le plus mauvais garçon" de Kyûshû.
A l'entrée à l'école primaire, il pesait déjà 47kg et par la suite : "Comme mes parents sont petits, ça doit être une mutation. Tous les ans je prenais 10kg.". Il a été repéré par Ôtake oyakata (ancien sekiwake Takatôriki) en troisième année de collège mais il ne s'intéressait pas au sumô. Impliqué dans des bagarres, il s'est retrouvé interné dans un centre de détention pour mineurs. "Si tu entres dans le sumô, je t'aiderai à te racheter." lui propose alors Ôtake oyakata, en vain. Sorti du centre de détention et le collège terminé, plutôt que d'entrer au lycée, il passa deux ans à ne rien faire, aux frais de ses parents. Et puis, au dernier Hatsu basho, il voit Chiyotaikai, qui se retire : "J'avais entendu dire qu'il avait été ce genre de mauvais garçon à Kyûshû. J'ai réalisé qu'il y avait quelque chose qui me reliait au sumô.". Il a téléphoné à l'oyakata en personne et est entré à la heya au début de ce mois.
"J'ai causé beaucoup de problèmes mais mes parents ne m'ont jamais laissé tomber. Je veux qu'ils me voient devenu quelqu'un de bien. Je veux être comme Chiyotaikai.". Avec le sumô de poussée dont Chiyotaikai était spécialiste, le fils terrible veut exprimer toute sa reconnaissance envers ses parents. Le sumô comme voie vers la rédemption.
Sponichi
A l'époque du collège, où il pratiquait le karate et le jûdô, MORI passait le plus clair de son temps à se bagarrer et était connu comme "le plus mauvais garçon" de Kyûshû.
A l'entrée à l'école primaire, il pesait déjà 47kg et par la suite : "Comme mes parents sont petits, ça doit être une mutation. Tous les ans je prenais 10kg.". Il a été repéré par Ôtake oyakata (ancien sekiwake Takatôriki) en troisième année de collège mais il ne s'intéressait pas au sumô. Impliqué dans des bagarres, il s'est retrouvé interné dans un centre de détention pour mineurs. "Si tu entres dans le sumô, je t'aiderai à te racheter." lui propose alors Ôtake oyakata, en vain. Sorti du centre de détention et le collège terminé, plutôt que d'entrer au lycée, il passa deux ans à ne rien faire, aux frais de ses parents. Et puis, au dernier Hatsu basho, il voit Chiyotaikai, qui se retire : "J'avais entendu dire qu'il avait été ce genre de mauvais garçon à Kyûshû. J'ai réalisé qu'il y avait quelque chose qui me reliait au sumô.". Il a téléphoné à l'oyakata en personne et est entré à la heya au début de ce mois.
"J'ai causé beaucoup de problèmes mais mes parents ne m'ont jamais laissé tomber. Je veux qu'ils me voient devenu quelqu'un de bien. Je veux être comme Chiyotaikai.". Avec le sumô de poussée dont Chiyotaikai était spécialiste, le fils terrible veut exprimer toute sa reconnaissance envers ses parents. Le sumô comme voie vers la rédemption.
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