ITOH Raô, jeune lycéen |
Voici ce qu'il déclarait en arrivant à son lycée où il continuait à pratiquer assidûment le sumô, loin du domicile parental : « Je fais trois heures de sumô par jour et je suis épuisé après ces entrainements difficiles. Mais je m'accroche pour devenir rapidement aussi fort que mes aînés. De temps en temps, je pense à chez moi et je me sens un peu seul. Mais je vais m'endurcir psychologiquement pour pouvoir faire ce qu'il faut pendant ces trois ans et ne pas oublier les objectifs que je me suis fixés. ».